La transparence est un pilier fondamental pour un avocat souhaitant établir une relation de confiance durable avec ses clients. Elle consiste à communiquer clairement sur les honoraires, les étapes du processus juridique et les éventuels risques ou limitations du dossier.
En étant transparent, l’avocat montre son engagement envers l’intégrité et la protection des intérêts de ses clients, tout en évitant les malentendus.
Après avoir terminé mes études, j’ai commencé à travailler, mais quelque chose me manquait pour être pleinement épanoui dans mon travail. J’avais besoin de plus de liberté d’action et de pouvoir me tenir aux côtés des personnes que je soutenais dans l’exercice de leurs responsabilités.
J’ai alors pris une décision radicale : changer de métier. Pendant une année entière, j’ai préparé l’examen d’entrée à l’école des avocats tout en continuant à travailler comme juriste. Une fois l’examen réussi, j’ai démissionné de mon poste et, un mois plus tard, j’ai intégré l’école, prêt à m’accomplir totalement.
Chaque affaire est pour moi une aventure et une responsabilité.
La protection du secret professionnel est un principe essentiel pour maître Alexandre Sillard. Il garantit à chaque client la confidentialité absolue des informations partagées avec son avocat. Ce devoir impose à l’avocat de préserver la confidentialité des échanges, qu’il s’agisse de discussions, de documents ou d’informations sensibles.
Maître Alexandre Sillard renforce cet engagement en stockant les données de ses clients sur un serveur sécurisé, basé en France, et qu’il possède intégralement, garantissant ainsi un contrôle total et une parfaite conformité avec les normes de confidentialité.
Il utilise « Tuta », une messagerie sécurisée de pointe, pour ses communications, offrant à ses clients une protection optimale contre les risques de fuite d’information.
Je refuse qu’on m’associe à l’image de l’avocat avare, celui qui arnaque ses clients, cache des frais ou ment sur les chances de succès d’une affaire.
J’ai travaillé avec des personnes, et notamment des avocats, qui ne mentaient jamais à leurs clients. Dès le départ, ils annonçaient clairement la fourchette de prix de chaque dossier et les chances de réussite. Cet esprit de transparence est une valeur que je souhaite perpétuer, car j’apprécie la confiance que mes clients peuvent avoir en moi.
Mes clients doivent savoir pour quoi ils paient, leurs chances de réussites, ainsi que les risques auxquels ils s’exposent.
La déontologie est le socle moral et éthique qui guide la profession d’avocat, garantissant une pratique conforme aux principes de probité, de loyauté et d’indépendance. Elle impose à l’avocat de défendre les intérêts de ses clients avec compétence et diligence, tout en respectant les règles légales et les droits fondamentaux. En observant scrupuleusement ces devoirs, l’avocat assure la crédibilité de la profession et la confiance de ceux qu’il représente. La déontologie constitue ainsi une protection essentielle pour le client et un gage de justice équitable.
Je travaille en étroite collaboration avec mes clients. Par exemple, un agriculteur et un collectif de riverains ont été confrontés à la construction d’une route qui menaçait de diviser et d’exproprier leurs parcelles au profit du porteur de projet.
Cet agriculteur avait déjà bien préparé sa défense lors de l’enquête publique et m’a fourni un document de plusieurs dizaines de pages. Son travail méticuleux m’a apporté une aide précieuse, tout en me donnant beaucoup de matière à traiter.
J’ai passé en revue chacun de ses arguments. Certains ont été intégrés directement dans la requête présentée au juge. Tandis que pour d’autres, je lui ai expliqué pourquoi ils ne seraient pas juridiquement valables ou efficaces. Cette approche garantit que chaque dossier est solidement construit et que mes clients comprennent pleinement les enjeux juridiques de la procédure.